APRÈS L’ARRESTATION DE DJEUKAM ET ANICET EKANE POUR COMPLICITÉ ET TENTATIVE D’ATTEINTE À LA SÉCURITÉ DE L’ÉTAT, ISSA TCHIROMA SERAIT EN FUITE DANS UN PAYS VOISIN !
La démocratie au Cameroun est officiellement reconnue dans le cadre constitutionnel et, sur le plan pratique, à travers les actes quotidiens. Les multiples partis politiques ont pu participer en toute sécurité au scrutin présidentiel du 12 octobre 2025, dans le respect de la constitution et des lois camerounaises.
Le Cameroun est, il faut le souligner, une République garantissant la démocratie, les libertés et la sécurité. Cependant, la réalité politique met en évidence des défis majeurs qui mettent à l’épreuve cette démocratie.
L’élection présidentielle d’octobre 2025 a été marquée par des contestations, des accusations de fraude, des manifestations sporadiques et un climat de méfiance alimenté par les ennemis de la démocratie camerounaise. Malgré ces tensions et les appels à l’insurrection lancés par certains membres de l’opposition, qui portent atteinte à la souveraineté de l’État, à la démocratie et aux libertés, l’opinion publique nationale et internationale est désormais informée que la fraude était exclusivement une des tactiques de certains partis politiques de l’opposition, pris en flagrant délit dans les grandes villes du Cameroun.

Néanmoins, la marche vers une démocratie pleinement fonctionnelle est en constante progression grâce à des pratiques politiques qui renforcent la participation citoyenne libre et la transparence dans la vie de l’État.
Certains candidats malheureux à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 ont décidé de défier la constitution et la loi, mettant ainsi en danger la vie des citoyens camerounais, notamment avec des appels à l’insurrection et d’autres soulèvements.
La jeunesse camerounaise, bien que désireuse de changement, est également intelligente et patriote. Elle sait que le Cameroun leur garantit toujours la liberté, la sécurité et l’épanouissement. Elle dénonce les multiples manipulations et autres actes pouvant mettre en péril la paix au Cameroun. Des étudiants des universités sont sortis en masse pour dire non aux multiples appels à l’insurrection formulés notamment par le principal parti de l’opposition lors de l’élection présidentielle d’octobre 2025, le FNSC d’Issa Tchiroma Bakary.

Les Camerounais qui avaient pourtant voté pour ce parti à 30 % sont déçus par le manque d’amour pour leur pays dont fait preuve ce parti politique, ce qui provoque un désenchantement chez une partie importante de la population, notamment la jeunesse, qui revendique la paix et le calme dans leur pays, lequel leur offre des preuves de libertés et de démocratie effective.

L’État camerounais est déterminé à garantir protection et sécurité à ses citoyens, tandis que certains ennemis de la paix fuient désormais le pays pour échapper à la loi et à la justice, car les preuves de leur culpabilité sont établies.
Il est rapporté qu’après l’arrestation de Djeukam et Anicet Ekane, Issa Tchiroma Bakary, le président du Front pour le Salut National du Cameroun (FSNC), aurait pris la fuite dans la nuit du 25 octobre 2025, après avoir appris l’arrestation simultanée de Djeukam Tchameni et Anicet Ekane. Selon certaines sources, il aurait pris la direction du Nigeria en compagnie de cinq de ses proches.

Rappelons qu’après avoir appelé à des marches et manifestations à travers le pays pour défier l’autorité de l’État et provoquer une insurrection au Cameroun, Issa Tchiroma pourrait être poursuivi à tout moment pour insurrection, haute trahison, hostilité contre la patrie, rébellion, …


