Le ministre d’État, Secrétaire général de la présidence de la République a effectué une visite surprise au complexe sportif d’Olembe ce dimanche 4 mai. Ce passage a permis entre autres de présenter l’évolution des travaux de finition du centre commercial et de l’hôtel cinq étoiles ; une façon pour cet infatigable serviteur de la République de mettre un terme aux racontages concernant ces deux projets.


En tenue de sport, sans motard ni autre apparat du Protocole d’Etat, relaxe et pourtant engagé dans l’accomplissement des missions à lui assignées par le Président de la République, son excellence Paul Biya, Ferdinand Ngoh Ngoh s’est rendu ce dimanche matin au complexe sportif d’Olembe. En compagnie du ministre des sports le professeur Mouele Kombi et entre autres de Joseph Antoine Bell, le patron de l’onies. Ils ont effectué une visite des lieux.

Au cours de sa visite le Ministre d’État a tenu à vérifier l’évolution des travaux du centre commercial où il nous a été donné de constater que le gros oeuvre est achevé. Les finitions restent attendues et le moins qu’on puisse dire est que cette visite va booster les travaux. Idem pour l’hôtel cinq étoiles de soixante dix chambres et une dizaine de suites.

Cette visite vient taire les racontages sur le centre commercial et l’hôtel cinq étoiles. Elle vient rappeler la place prépondérante du complexe sportif d’Olembe et l’engagement renouvelé de l’Etat à offrir ce joyau architecturale à la nation selon l’esprit de son concepteur premier, le Président Paul Biya. Le passage du ministre d’Etat survient dans un contexte où les critiques concernant ce méga projet reviennent de manière récurrente sur les plateaux télé. Là-dessus d’ailleurs de nombreuses figures respectables du paysage politique camerounais n’ont pas hésité souvent à faire des déclarations tonitruantes et pourtant fausses concernant ces deux projets.
Ferdinand Ngoh Ngoh un joueur de tennis de table


Le point d’orgue de cette visite a été dans la salle destinée au tennis de table. Là, sous le regard abasourdi d’un public de circonstance, Ferdinand Ngoh Ngoh a tenu la raclette et sorti le grand art au tennis de table face à un adversaire désemparé par sa précision et sa vivacité dans le jeu. Cette prouesse a fait comprendre à tous qu’avant d’être administrateurs, Ministres et autres serviteurs de l’Etat, nos gouvernants sont avant tout des camerounais qui aiment le sport, le pratiquent et travaillent pour son progrès à l’échelle nationale et internationale.