Depuis 1982, le Cameroun est entré dans l’ère d’une nouvelle République portée par S.E PAUL BIYA, qui arrive au pouvoir tel un messie envoyé des dieux au moment où les camerounais se sentent déjà comme à l’étroit, muselé dans une peur permanente.
Cette nouvelle ère a marqué un tournant décisif depuis 42 ans, et a donné au pays la forme dynamique et variée qu’il revêt aujourd’hui en Afrique et dans le monde.
En 60 ans d’existence, le Cameroun s’est construit au fil des ans, grâce aux efforts consentis à tous les niveaux par les populations et porté par la vision du Chef de l’État, qui, depuis quatre décennies, a su préserver l’intégrité économique, politique, culturelle et sociale du pays face aux vents de la mondialisation.
Le Cameroun change, le Cameroun a changé!! L’expression « à notre époque » est souvent utilisée par certains, pour souligner les lacunes remarquées au quotidien, qui parfois nécessitent une intervention. Cependant, elle ne rend pas justice aux actions du Gouvernement, qui ont apporté un souffle nouveau à de nombreuses reprises.
Au-delà des problèmes qui restent à résoudre, le Cameroun a enregistré des progrès remarquables ces dernières années, grâce à l’action coordonnée du Gouvernement et des populations, sur plusieurs plans.
Sur le plan social.
La liberté est une réalité: liberté d’association, liberté religieuse, liberté d’expression, le respect des droits fondamentaux de chacun, la liberté d’entreprendre, la promotion du genre, l’égalité de chances…
Les progrès sur le plan économique
Avec la création de plusieurs grandes entreprises qui produisent des richesses et recrutent les camerounais.
Sur le plan technologique
l’avènement de la fibre optique, la création des entreprises de contrôle des outils de communication numérique comme l’ANTIC pour la lutte contre la cybercriminalité, l’ART pour la régulation des télécommunications et bien d’autres.
Sur le plan de la santé
La pratique des greffes d’organes est un fait aujourd’hui dans certains hôpitaux publics du Cameroun. C’est le cas des malades drépanocytaires, qui autrefois, difficiles à suivre dans le circuit des soins, sont désormais hors de danger , car, ils peuvent bénéficier de la transplantation de la moelle au Cameroun. Ces malades peuvent guérir définitivement et vivre normalement.
Les progrès sont légion pour peu qu’on soit de bonne foi.
Sur le plan politique
avec l’avènement du multipartisme depuis l’ère Biya. Les partis politiques sont tous les jours un peu plus nombreux !
Sur le plan éducatif
Le nombre de médecins, d’ingénieurs, de techniciens supérieurs et autres professionnels s’est accru de façon exponentielle, ainsi que la création d’une multitude d’universités, de grandes écoles et des écoles de formation, ce qui garantit de facto un bon capital humain.
Sous la présidence du Chef de l’État camerounais, de nombreuses générations ont posé les fondations du Cameroun que nous avons aujourd’hui.
Les résultats sont visibles et nous en profitons tous les jours.
Face à cette réalité incontestable, il serait mal vu de focaliser notre attention sur ce qui ne fonctionne pas encore comme les camerounais le souhaitent , quand l’on sait que les projets et programmes mis en œuvre par le Gouvernement depuis 42 ans ont transformé la vie des Camerounais.
Ces actions ont contribué à créer un environnement dans lequel les citoyens ordinaires bénéficient des libertés et des opportunités qui leur permettent de prendre leur vie en main.
Le Cameroun a changé en profondeur. 42 ans d’efforts, de projets, de réformes et d’actions, c’est le bilan que nous pouvons dresser aujourd’hui.
Comme le recommande PAUL BIYA, Président de la République, Chef de l’État dans l’un de ses discours de 1984, les camerounais doivent continuer à faire preuve de loyalisme à l’égard des institutions et restés attachés aux valeurs de paix, aux valeurs d’unité et aux valeurs de stabilité qui sont des conditions sine qua non au succès de la politique de développement de la Nation car cela leur permettrait d’atténuer les menaces à la cohésion sociale, tant défendue par le Chef de l’État, son Excellence PAUL BIYA.
Dans cette perspective, il a été jugé opportun de produire une édition spéciale pour mettre en lumière les réalisations du Chef de l’État camerounais. L’objectif est de permettre aux Camerounais de se concentrer sur les résultats positifs enregistrés. Cette édition spéciale est également un moyen de renforcer le patriotisme, le sentiment d’appartenance à un seul et même pays et de les motiver à faire encore plus pour leur destin commun.
Il est important de noter une certaine pollution dans les actions pourtant positives de PAUL BIYA à savoir: une communication stratégique insuffisante pour le rayonnement de ses actions, les détournements de fonds publics, la corruption observée et dénoncée sans cesse grandissante, la non maîtrise et la mauvaise canalisation des réseaux sociaux avec la culture du buzz basée sur le sensationnalisme, les clashes, les messages de haine qui déforment, décrédibilisent l’image du Cameroun, contribuent à la dégradation du climat social et impactent sur son influence tant sur le plan national qu’international. En raison de tout cela, il est difficile pour les citoyens de comprendre les actions du Gouvernement, de remarquer les changements positifs et de reconnaître le travail des millions de personnes pour améliorer la vie des Camerounais, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest.
Le Cameroun a connu ces dernières années des troubles majeurs dans certaines de ses Régions: Sud-Ouest, Nord-Ouest, Extrême-Nord et Est. Il faut reconnaître que cela aurait pu dégénérer et embraser le pays tout entier, mais l’État Camerounais sous l’impulsion et la sagesse du Président PAUL BIYA a réussi à s’en sortir en laissant le moins de plumes possibles, même s’il a pleuré ses vaillants soldats, ses filles et fils!
Le président PAUL BIYA a brillé par sa maîtrise de la diplomatie avec des relations multilatérales et des partenariats divers et variés, la préservation des relations internationales
Il a vu certains efforts de toute une nation détruits par ces troubles : les infrastructures routières, hospitalières, éducatives et bien d’autres… De nouveaux mots tels que «déplacés internes, séparatistes»… sont désormais dans le langage des camerounais, avec des familles détruites! Les camerounais peuvent bénir le ciel et saluer le stratège PAUL BIYA, qui a su lire et voir leurs ennemis communs et a décidé de gérer ces troubles de manière pacifique, en impliquant tous les camerounais dans le Grand Dialogue National inclusif du 30 septembre au 4 octobre 2019 à Yaoundé.
Les camerounais coupables de détournements des fonds publics ont très vite été rattrapés par «l’opération épervier» lancée par le président PAUL BIYA pour préserver les biens publics des personnes mal intentionnées qui ont essayé d’abuser les camerounais.
Aujourd’hui, les camerounais semblent vouloir celui qui va construire Paris en un jour !
Ont-ils oublié d’où ils viennent? Chacun doit construire sa propre mémoire. Mais la mémoire collective est le patrimoine de tous les camerounais. Ils réussiront ensemble ou alors échoueront tous ensemble, à chacun de jouer sa partition. PAUL BIYA joue certainement la sienne!
SIDONIE LEGLA BASSONG