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Les lions indomptables du Cameroun vainqueur des warriors du Zimbabwe au stade omnisports Ahmadou AHIDJO par 2 buts contre 1, une première mi-temps où les lions ont pris l’avance en dominant leur proie 2-0 , ABOUBACAR Vincent à la 18ème et Kevin NKOUDOU à la 29ème minutes, le Cameroun aurait fait plus n’eût été les occasions vendangées par ses attaquants.

Résumer l’action de Son Excellence PAUL BIYA, 42 ans après, est en réalité un exercice à la fois difficile et particulièrement exaltant. Difficile car il y’a tant de faits à relever et tout semble important. Exaltant parce que la somme des faits positifs l’emporte largement. Heureusement lui-même, dès l’entame de son magistère, il avait déjà fixé le cap et baliser le terrain, en annonçant dans le cadre de la politique du Renouveau national, le tryptique : Démocratie, Moralisation et Libéralisation.
La démocratie est une réalité au Cameroun. Cela ne fait point de doute. La libéralisation, surtout en ce qui concerne le champ économique, est effective. Elle a drainé dans son sillage un vent de prospérité indéniable. La moralisation, est un combat de longue haleine. Ce n’est pas à vous que je vais apprendre ce qui arrive aux compatriotes qui s’attaquent à la fortune publique. Pour dire que la lutte contre la corruption bat son plein. Il a même créé tout un organe: la CONAC, pour intensifier la lutte contre la corruption.

Merci pour l’opportunité que vous me donnez de m’exprimer sur les 42 années au pouvoir de S.E. PAUL BIYA et particulièrement sur ses actions a l’endroit de la jeunesse Camerounaise.

Entre profusion de rumeurs et inflation de démentis, le Président de la République, PAUL BIYA, a regagné Yaoundé, repris son travail au Palais de l’Unité et fermé une longue, intrigante et détestable parenthèse de débats sans concession sur un pouvoir qu’il exerce depuis le 06 novembre 1982. Dans l’environnement de la célébration de ses 42 ans de magistrature suprême, beaucoup, dans le pays et au-delà, feignent de découvrir cet homme d’État hors du commun qui a pourtant montré tant de constance et de cohérence dans un style tout à fait propre à lui. Ce texte invite à une lecture actualisée de trois invariables de ce « code BIYA » qu’on a peut-être tort de considérer au premier degré : l’absence, la distance et le silence.

Le Ghana, confronté à une sécheresse sans précédent en 2024, notamment dans le nord du pays, a décidé de renforcer ses infrastructures de stockage de céréales pour garantir la sécurité alimentaire de sa population. Le gouvernement a lancé la construction d’un silo à grain d’une capacité de 60 000 tonnes, dont le coût est estimé à 70 millions de dollars.